Précommandez "Avortée" dès maintenant !
Précommandes, sommaire du livre et rencontres
Salut,
J’espère que vous allez aussi bien qu’il est possible en ces temps (toujours, inlassablement) troublés. De mon côté, je viens surtout avec une brassée de nouvelles qui m’enthousiasment follement !
Précommandes
Avortée, une histoire intime de l’IVG sort dans 3 semaines tout pile, ça approche, ça n’a jamais été aussi bientôt. Vous avez d’ailleurs déjà la possibilité de précommander le livre sur le site des éditions Daronnes ! Pour être totalement transparente, vous pouvez bien évidemment le précommander auprès de votre librairie habituelle. En passant par le site de la maison d’édition, vous payez tout de suite et Daronnes, jeune maison, bénéficie d’une trésorerie directe fort utile en ce début d’activité.
Pour pimenter un peu le truc, il y a 300 précommandes disponibles et on a décidé de tirer au sort 30 d’entre elles pour que je les dédicace avant de vous les envoyer. C’est 1 chance sur 101, ce qui est beaucoup plus que pour gagner au loto (mais un peu moins life-changing, je vous l’accorde). Si ça vous tente, alors hop, tout se passe ci-dessous.
Sommaire
Mais qu’est-ce qu’on raconte dans ce livre ? vous demandez-vous avec raison. Dans mes précédentes communication, j’ai oublié un point crucial pour moi dans la raison d’être de ce livre. Je voulais parler de la tension que j’ai ressentie, entre mon féminisme et mon désir d’enfant, une tension qui s’est vraiment accentuée dans les mois qui ont suivi l’avortement. Bref, sans plus de tergiversations, voici le sommaire d’Avortée :
La douleur et l’envie : je reviens sur la découverte de ma grossesse, et sur ma position vis-à-vis de la maternité à l’époque
Où sont les avortées ? : au travers de quelques œuvres de pop-culture qui m’ont marquée, j’explore mon imaginaire de l’IVG
L’impensable : je relie la contraception, son échec et la matérialisation de l’avortement, auquel on pense rarement avant d’y être confronté·e
Horizon parcellaire et subjectif du droit à l’avortement : quelques législations différentes de la nôtre et ce qu’elles peuvent dire de nous en tant que société
Trop tard : j’évoque la temporalité de l’avortement, depuis la prise de décision jusqu’à l’après, qui est parfois plus long qu’on l’imagine
Égoïsmes : j’aborde ici la place des hommes dans la conversation, ainsi que la place de la personne enceinte, de ses rêves, de ses ambitions
La honte : d’où m’est venue cette honte à laquelle je pensais tant être imperméable ? (avec un ft. Macron, je vous gâte je trouve.)
Un deuil : je me demande pourquoi j’ai vécu l’avortement comme on vit un deuil, et pourquoi j’ai mis du temps à le reconnaître
Guérir : j’invoque enfin mes sœurs d’épreuve, elles apportent quelques réponses à la question cruciale qui est, “Comment mieux traverser collectivement l’expérience de l’IVG” ?
Voilà, vous savez presque tout ! J’espère que ce petit aperçu vous donne envie d’en savoir plus, de donner une chance à Avortée.
Deuxième vie
Le 11 mars (la semaine prochaine, donc) Moi les hommes, je les déteste ressort au format poche, dans la belle collection féministe des éditions Points. Chloé Delaume lui a offert une préface et je me suis fendue d’une postface, il contient aussi le premier chapitre d’Avortée, et il ne coûte que 5,90 €, moins cher ce serait gratuit. Je suis super heureuse que ce texte continue sa vie et soit encore plus accessible à tous·tes !
Rencontres
Toutes les dates ne sont pas encore calées donc je vous tiendrai au courant, mais je peux déjà vous donner celles qui le sont.
vendredi 25 mars à 19h : à la librairie l’Affranchie, à Lille, rencontre + dédicace, réservation obligatoire (la billetterie ouvre aujourd’hui à midi !)
jeudi 31 mars (horaire à confirmer) : à la librairie Un livre et une tasse de thé, à Paris 10, rencontre + dédicace
vendredi 15 avril, de 17h à 21h : à la librairie Une librairie à soi·e, à Lyon, dédicace + rencontre, réservation obligatoire
Si vous avez envie que je vienne par chez vous, n’hésitez pas à en parler à vos libraires préféré·es : je vais là où on m’invite, et ce sont les librairies qui invitent les auteur·ices !
J’ai encore une fois été plus bavarde que prévu.
Je vous laisse sur ces bonnes paroles et vous dis à très vite.
Pauline
Et non pas 1 sur 100 comme j’avais écrit mercredi sur Instagram, prouvant que je n’aurais jamais réussi en filière ES si j’avais persévéré dans mon erreur au lycée.