Salut,

Je suis en train d’élaborer une méditation sur l’intelligence artificielle qui a besoin de mûrir. Pas mal de ce que j’ai absorbé récemment et ai envie de faire circuler se rapporte au sujet, alors puisque je fais ce que je veux et qu’il faut savoir se réinventer, aujourd’hui j’ai envie de vous parler d’horreur.

Le mois dernier est paru Monstrueuse, l’essai incarné de Taous Merakchi sur le cinéma d’horreur, comment elle s’est construite avec lui, depuis l’âge le plus tendre. J’ai assisté à sa rencontre à L’Affranchie avec des amies, qui ont toutes les deux été assez surprises d’entendre que je me définis comme « assez fan d’horreur ». Je suis, par exemple, très friande d’histoires de zombies, sans être non plus accro à tout ce qui sort (jamais vu The Walking Dead, par exemple), et sans avoir jamais trop pris le temps de détricoter le pourquoi du comment. Globalement, j’aime assez le dégueulasse, le pourri et le tordu. Et j’adore jouer à me faire peur.