Capitalisme et poésie

Salut,

Grand retour en fanfare, pour ce mois-ci en tout cas, des 2 lettres supplémentaires. Je chamboule un peu mes habitudes, qui sont de commencer le mois par la lettre de circulation et d’enchaîner avec celle sur le travail, car à l’heure où je vous écris j’ai déjà plein de choses à partager avec vous sur le travail, et un peu moins sur ce que j’ai lu/vu/goûté/senti. Et comme je vais au cinéma ce soir (voir Anatomie d’une chute !), peut-être que ça rajoutera de l’eau à mon moulin. Alors si vous le voulez bien, parlons boulot aujourd’hui !

Travailler en vacances

Mauvaise gestion du calendrier de ma part : je souhaitais ardemment finir le manuscrit de mon prochain roman avant de partir en vacances début août, mais je n’ai pas réussi. Conjugaison de tous les impossibles : une fatigue immense, peu d’énergie et donc peu d’imagination, quand je déposais ma fille chez sa gardienne à 13h je n’avais qu’une envie et ce n’était pas d’écrire un roman. J’ai donc bingé Abbott Elementary et Ted Lasso sur mon temps de travail, ce qui n’a certainement pas été inutile, mais ça n’a pas été très productif. Je me suis donc retrouvée avec encore au moins 8 grandes “unités d’action” à écrire au moment où nous avons fait nos bagages pour nous rendre chez nos amis, dans l’Anjou. Comme j’étais dans une super lancée permise par mes beaux-parents, venus juste avant le départ voir notre fille et qui m’ont beaucoup délestée de la charge parentale poru que je puisse bosser, j’ai pris mon ordi et je me suis dit :