Sorties et rencontres
Updates sur mes prochaines sorties, rencontres, et projets en cette belle rentrée. On n'a pas de premier·e ministre, mais on a des idées.
Salut,
C’est la rentrée ! Wow ! Je pensais vraiment que j’allais beaucoup plus travailler que ça cet été. Mais la vie est ce qu’elle est, et pour moi elle a été plutôt clémente ces temps-ci. Je ne sais pas pourquoi je m’attendais à travailler plus alors que l’an dernier, je le sais, j’essayais de travailler plus et je devenais chèvre.
Anyway, ce qui est chouette c’est que malgré tout j’ai des nouvelles pour vous : parfois, on plante des graines, on les oublie, et pile quand on en a besoin elles portent leurs fruits.
Aucune notification sort demain !
Je vous ai rebattu les oreilles avec ce petit bouquin, mais ça y est, il arrive. Si vous l’avez commandé sur le site de La Fourmi, il est soit déjà là, soit en route. Sinon, vous pouvez le commander dans votre librairie habituelle. (Il sera en stock dans une vingtaine de librairies en France, rendez-vous chez La Fourmi Éditions pour se tenir au courant.)
Je suis très émue de l’objet magnifique que les meufs de La Fourmi ont pensé pour accueillir mon texte. C’est un honneur rare, en fait, c’est le plus beau de mes livres, et j’ai quelques très belles éditions de Moi les hommes, je les déteste. Vous trouverez en plus du texte la DA de Chien fou, et l’ADN de La Fourmi, avec un contexte que j’ai écrit à la main et des pages pour archiver la circulation du livre.
Je pense souvent à cette histoire, qui sans conteste m’a mise sur la piste de la possibilité d’écrire une comédie romantique. Je me souviens de la surprise que ça a été, d’écrire une histoire du point de vue unique d’un homme. J’espère qu’elle vous plaira, que vous la prêterez, qu’elle vivra.
Avortée sort en poche !
Ce sera cette fois le 20 septembre, aux éditions Points dans la collection Féministe, où Moi les hommes, je les déteste vit déjà sa meilleure vie. Je suis là aussi super contente – vraiment le passage en poche est une espèce de petite consécration que je redécouvre à chaque fois. (La chance que c'est, de pouvoir dire "à chaque fois". Bref.)
Il coûtera désormais 6,80 €, et je pense que c’est un texte qui continue d’être d’actualité. Avec lui, je pense souvent à la promo avec l’équipe de Daronnes, enceinte de 4 mois, portant dans mon corps le message de mon livre. Les livres contiennent l’histoire entre leurs pages mais aussi l’histoire tout autour.
Rencontrons-nous !
Je serai :
- le 13 septembre à 19h, à L’Affranchie librairie (Lille), en compagnie de Chien fou, pour parler d’Aucune notification et de Synthétique & Toxique avec Soazic. La rencontre est complète, mais si vous êtes dans le coin, la liste d’attente ouvre à 18h et sinon, ce sera publié sur L’Affranchie podcast avant la fin du monde.
- le weekend du 5 et 6 octobre, au Festival du Livre d’en-haut (Lille toujours) :
- samedi 5 : table ronde à 11h30, dédicaces l’après-midi sur le stand de la librairie Le Biglemoi
- dimanche 6 : dédicaces l’après-midi sur le stand de la librairie Le Biglemoi (Toutes les infos sur le festival ici)
C’est mon troisième festival ! Wouh ! Là, je me souviens des quelques invitations qui étaient tombées après Moi les hommes et qui avaient été annulées quand on s’est collectivement rendu compte que le Covid n’avait pas disparu comme par magie. Mais aussi d’être allée à Florence (Italie !!) et d’avoir brièvement respiré le même air que Gloria Steinem, et d’avoir passé un week-end hyper doux à Rennes pour le festival Dangereuses Lectrices.
Pas mal, cette petite vie.
En vrac, autres nouvelles :
Comme c’est la rentrée, je me remets au travail, et j’ai rouvert sans trop de souffrances le premier jet de Courir le risque pour y apporter les grosses modifications que j’ai estimées nécessaires avant de prendre mes congés forcés pour cause de parentage. C’est même assez joyeux ! Je crois que mon Summer Of Love Stories m’a fait du bien : j’ai pris du recul sur le texte, sans pour autant me couper du genre.
Une nuit hachée, j’ai eu une nouvelle idée pour une nouvelle histoire, avec un titre et des personnages et une trame et maintenant, le drame c’est qu’il faut d’abord finir les autres projets avant de me lancer vraiment dans celui-ci. Alors qu’on le sait bien, les nouvelles idées ont toujours l’air meilleures que les anciennes. C’est qu’elles n’ont pas encore perdu le lustre de la nouveauté.
Ce qui m’a quand même fait réaliser que j’ai 3 romans en cours à divers stades de réalisation (L’insoluble, presque fini, en cours de signature, Courir le risque, premier jet terminé, et mon roman sur l’amitié, au stade encore de notes éparses et de bribes de chapitres disséminées sur divers supports). Là, je me souviens de l’époque où je disais que je n’avais qu’une idée par an et que je mettais 2 ans à la mettre en mouvement. Il semblerait que ce ne soit plus très vrai : peut-être que plus on a le temps d’avoir des idées, plus on en a. Privilège !
Imaginez ce qu’on serait cap d'imaginer, sans le capitalisme patriarcal et suprémaciste ?
J’espère vous voir à Lille si vous êtes là, et de toute manière, à la semaine prochaine dans vos boîtes mails. Prenez soin de vous.
Pauline